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Tours et ombrelles
Et échauguettes, guérites en encorbellement
Quand j'étais petite, je me rendais parfois avec maman à la droguerie. Pas celle-ci, flamboyante, glorieuse.
Un tout petit espace où s'entassaient les flacons,
les odeurs, les formes diverses et généreuses.
Une droguerie : rien que le mot, quel mystère ! Que d'interdits.
C'étaient des boutiques dans lesquelles on trouvait de tout. Mort aux rats, eau de Javel, boîte d'allumettes, peignes, White spirit. Pinceau, clou, vis, brou de noix... Poudres blanches, odoriférantes, boîtes en carton. Éponges, échelles. Entretien personnel, soins domestiques : que pourrait-on ne pas se procurer, au recoin d'une étagère poussièreuse, dans un tel commerce ?
Des bâtons de magicien, peut-être, des rêves, des poèmes.
Ou bien si.
À Saint-Etienne, les drogueries existent encore... et Rubis à facettes - pliant automatique - se fait photographier !
À Paray le Monial, en Bourgogne
Les riches heures aux sept cœurs :
À l'Espace de la Tour, à Mably, dans la Loire :
l'Envolée de cœurs se confond presque avec le ciel...
D'autres tours, notamment en Italie,
Ou là.
Pour voir les parapluies Poiré Guallino
toujours libres à la vente,
disponibles à ce jour, cliquez ici.
Tags : Poiré, Guallino, parapluie, ombrelle, tour, échauguette, Mably, guérite, Loire, Paray le Monial
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